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" FAIRE DANSER LES CORPS SANS SACRIFIER LA MELANCOLIE. "

Get the bodies dancing, without sacrificing melancholy.

 

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" CHAMBERLAIN CHAMBOULLE LE MINIMALISME. " [GONZAÏ]

Chamberlain disrupts minimalism.

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Chamberlain électrifie la veine neo-classical

avec une série de méditations à mi-chemin entre HOUSE DE Chicago et Philip Glass. Une recette musicale à la fois rare et enivrante. " [INDIE MUSIC]

Chamberlain electrifies the neo-classical vein with a serie of meditations between Chicago's House and Philip Glass.

A musical recipe that is both rare and intoxicating.

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Chamberlain compose des merveilles au piano, entre Moodyman et John Cage. " [BEYEAH]

Chamberlain composes marvels at the piano, between Moodyman and John Cage.

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" UN ASTRE CONTEMPORAIN QUI DOIT TOUT AUTANT AUX MEDITATIONS ELECTRO DE KRAFTWERK, QU'AUX REPETITIONS DE STEVE REICH. "

A Contemporary star, that owes as much to electro meditations of Kraftwerk, as repetitions of Steve Reich.

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" la MUSIQUE de Chamberlain celle qui monte progressivement comme un trip sous psychotrope et qui agit ici tel un filtre d’amour  " [LES INROCKUPTIBLES]

The music of Chamberlain the one that gradually rises like a trip under psychotropic and which acts here like a filter of love.

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Chamberlain ouvre la soirée de sa musique ample, onirique et puissante dans un Grand Mix complètement reconfiguré, une salle toujours propice aux nouvelles expériences. La musique est composée, élaborée, savante mais vivante et vibrante. C'est toujours un plaisir salutaire et sain que de se faire embarquer loin de ses formats habituels, hors de la fameuse zone de confort, repenser toutes les manières de faire de la musique. On entend une très solide culture musicale, un sens aigu du temps, de la progression et de très belles pulsations. On pense au travail de Son Lux ou de Sébastien Schuller. Ils se posent des questions communes : Comment articuler le vivant et l'organique au cœur des machines ? une belle scénographie tout en contours lumineux vient rehausser l’éclat de la musique. IEM (Intelligent electronic music) ? Oui, pourquoi pas, mais leur musique a plus de saveur que l'étiquette.

LILLE LA NUIT

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CHAMBERLAIN, OISEAU DE NUIT

La meilleure track pour s’endormir, celle qui t’apaise et te berce doucement ?

Ha non je ne peux pas dormir en musique, ou alors sur de la tech très dure, paradoxalement.
Par contre l’adagio du Concerto en Sol de Ravel m’apaise.

Si tu étais un oiseau de nuit, tu serais plutôt heeboo ou chauve-souris ? Pourquoi ?

Chauve-souris, parce que faussement caché, à peine en embuscade, mais prêt à voler partout. (et éradiquer les moustiques en été, mais ça c’est cadeau-catharsis)

Ton heure préférée de la nuit ?

2h50, quand je ne comprends plus rien à la musique que je produis ou que j’écoute.

Tu préfères quand le soleil se couche ou quand le matin se lève ?

Le matin qui se lève ! Délicieux…

Tu peux nous raconter la plus belle nuit de ta vie ?

Des ami(e)s, de l’alcool de haut-vol, une marche sur un boulevard en conversations de moines comiques, de la nourriture salée, une pièce claire-obscure sans rideaux éclairée par des réverbères oranges, puis des parfums et de la moiteur, le reste est privé.

Ton secret pour durer toute la nuit ?

Whisky 17 ans d’âge minimum, en doses homéopathiques, 1 cl par heure.
+ volvic.
+ comté bien fruité

Plutôt gros hangar techno ou boule à facette intimiste ?

Gros hangar

Si tu avais un animal totem, ce serait ?

Un mouton noir

Penses-tu que la nuit est la preuve que le jour ne suffit pas ? 

Mais oui ! Le jour t’oublie en déclinant, alors la nuit vient te sauver.
La nuit ton téléphone ne sonne pas. Ton réseau neuronal, lui, est en plein jour. La nuit te ment, c’est ce que tu voulais.

Si une journée ne se résumait qu’à une facette de la vie… à choisir, plutôt 12h de jour ou 12h de nuit ?

12h de nuit, mais assez tôt le matin ok ?

ITW POUR HEEBOO

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On a découvert Chamberlain lors de leur live aux TransMusicales. On pensait faire un simple saut à la salle de l’Etage mais on est restées jusqu’à la fin. Le duo piano-électro a délivré un live captivant mené par une scénographie inédite et mouvante. On a pu découvrir leur manière de maîtriser des harmonies intelligentes aux limites du classique tout en jouant avec des mélodies pop et des prod électro parfois intenses et frontales. 

L'ARTICHAUD

 

Damps Suns Receipts (Live), une petite merveille signée Chamberlain. 

LE TOURNEDISQUE

 

Pour se mettre dans l’ambiance des œuvres fragiles de Philip Glass, rien de mieux que de se plonger doucement dans une musique pour claviers qui se déploie lentement. Invités des dernières Transmusicales, Chamberlain tisse ses mélodies méthodiquement, minutieusement. (...) Chamberlain se cache pour mieux laisser leurs nappes de synthés s’exprimer, caméléons au milieu de la scène aux lumières éteintes. Les titres interprétés sont harmonieux, sans heurts, apaisés. On a l’impression d’être dans une bulle de coton, à peine secouée par un beat ou le clavier basse (Food Shacks Area).Le duo s’appuie surtout sur les arpèges délicats hérités de la ligne claire de Bach (The Bright Garden) et Glass (The Glass Lift), et les lie avec les rythmiques douces qui ont fait le succès de Zero Seven (A Gentle Slope) comme si l’assemblage était tout naturel. Le public du Café de la Danse doit se contenter d’un set court, mais c’est une mise en bouche idéale pour mieux découvrir le travail de Chamberlain et passer le relais en douceur à Bruce Brubaker.

ALECOUTE.NET

 

Chamberlain : dans la lignée de Nils Frahm, Chamberlain compose des merveilles au piano, entre Moodyman et John Cage. "

BEYEAH

 

Le festival hivernal de découvertes musicales maintient sa 37ème édition avec une programmation aussi pointue que défricheuse, avec la Grecque Monika et sa soul disco, la pop transgenre des 3Somesisters, les vagues électro de Molecule, les DJ français Raphael Vendramini alias Automat, B-Boz, Chamberlain, Claude, Crocodile, Darius, le toulousain François 1er, Alexandre Berly alias La Mverte. 

FIP RADIO

 

En ouverture de l'après midi à l’Étage, voici Chamberlain (à prononcer à la française). En studio, Chamberlain n'est qu'une seule personne, mais en live, il s'entoure d'un autre pianiste/bidouilleur, ainsi que d'une colonne de fumée en verre. Non cette colonne ne joue pas de musique, elle ne fait que servir de support aux projections visuelles de l'artiste. La fumée à l'intérieur permet alors d'apercevoir les objets en 3D, sans avoir à porter de lunettes "sex-appealophages". Les deux musiciens se font face au piano, et se tourne vers le public lorsqu'il s'agit de rendre la musique plus électronique. Une mise en scène bien rodée... Dans un style musical rappelant ceux de Nils Frahm ou Olafur Arnalds, Chamberlain nous ravit de compositions à base de musique classique, avec une touche de techno comme il faut. L'appellation IEM (Intelligent Electronic Music), conférée à Nils Frahm depuis longtemps, semble la seule que l'on puisse donner à Chamberlain. Impressionnant de douceur et d'élégance mélodique, le duo sait aussi emporter le public par ses rythmes endiablés et ses basses profondes. A écouter et à voir absolument ! 

INDIE NEWS

 

La voici, la voilà, la deep house de Chamberlain celle qui monte progressivement comme un trip sous psychotrope et qui agit ici tel un filtre d’amour mais de 6’50 seulement... L’autre plaisir de ce morceau, en sus de l’incroyable justesse de ses arrangements, c’est bel et bien sa dimension Live qui vous fera – soyez en sûrs – monter au ciel.

LES INROCKUPTIBLES

 

L'énigmatique Chamberlain se voit offrir une carte blanche où il pourra convoquer tout un univers musical prompt à le définir mais aussi faire la fête. Une occasion particulière de cerner un peu plus un des groupes les plus singuliers issu de la région. Dis-moi qui tu invites, je te dirais qui tu es. Cela fait quelques temps que l'on tourne autour de Chamberlain (..), élégant et exigeant, Chamberlain est plus club-house que house de

club. Sans renier des amours électroniques, Chamberlain séduit par ses infidélités vers le post-classical et autres éthers expérimentaux comme on en croise chez Erased Tapes. Pour capter le mood de cette soirée, nous nous sommes livrés à une petite interview « minimaliste » de Chamberlain, car ici tout est dans le détail.

SORTIR LILLE

 

La soirée devient magique avec l’arrivée de Chamberlain, qui se présente également en duo pour le live, chacun derrière son clavier. (...) Les morceaux joués ce soir auront bien réussi à faire danser le public. Avec une science remarquable, le duo mêle donc ses notes de piano à des beats et samples pour créer des titres mélancoliques mais dansants, entre house, jazz et musique classique. (...) tout est déjà bien maitrisé et on se retrouve vite emporté par ces mélopées addictives et cette configuration originale.

OCEAN OF NOISE

 

" S-UNDO de Chamberlain ou comment voyager à dos de piano : Cela fait presque 1 an que le cavalier Chamberlain est arrivé sur la toile et chacune de ses sorties est synonyme de voyage. Toujours armé de son piano, il revient cette fois avec « S-Undo » pour un trajet qui n’est disponible qu’en première classe. "

Chamberlain - Full Winter Collection. Le pianiste Chamberlain nous partage une nouvelle composition en ce début d’année. Cette dernière confronte les mélodies légères du piano à des rythmes mécaniques et froids, une prise de risque dans la production qui porte ses fruits de manière élégante. 
PHONOGRAPHE. CORP

 

" Chamberlain a encore frappé, il s’attaque cette fois ci à “Angelene” le super single phare de l’album de Thomas Azier. Avec son style indescriptible il détourne le morceau electro/pop et l’emporte dans son univers. Nappes de piano, synth ambiant, aériens... "
" Fakear c’est super cool mais quand c’est remixé par Chamberlain ça devient une perle. On enlève le gros kick et on repart sur des drums et des lignes de synthé plus “chill”. C’est un bon morceau du lundi pour bien commencer la semaine. "
" Damp Suns EP, Chamberlain vient de pondre une nouvelle perle, un EP de 3 morceaux s’intitulant « Damp Suns ». Piano, mélodies planantes, synthés ambiants, sa recette est toujours aussi bien garni et agréable. "
" Town Affairs LP, ça fait un moment que c’était dans les tuyaux, on en parle souvent ces temps ci mais c’est parceque ce mec à une cadence de production assez impressionnante. Voici le nouvel album « Town Affairs » de Chamberlain en écoute intégrale ! Comme d’habitude c’est une production soignée, propre, beau
et léger...Cette recette hors du commun est un mélange de musique électronique ambiante, sur une
structure de classique, sans oublier son fameux piano et ses grandes nappes de synthé dont on ne se lassera jamais... "

LA GARDERIE

 

Somehow Parisian piano wizard Chamberlain remains relatively unknown despite an ever expanding catalogue of gerogeous tunes. Silk Collection Special Edit is housier then much of his output which usually leans more towards the finest film soundtrack album you've never heard. "" Enough self congratulation and on with what counts, the music and a few gems from last month starting with something French and exquisitely beautiful, courtesy of Chamberlain. T-ISA is in a similar vein to Chilly Gonzales’s Solo Piano work and one can only hope Apple are looking for a new tune to whip the masses into hysteria over the next ipad – pick T-isa. 

MUSIC LIKE DIRT, LONDON

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There is no question that the music on Whyd is the best of the best. Our music lovers scour the entire internet for the newest bits of brilliance in the sea of content and media. Sometimes artists themselves come to share music on Whyd, and our community appreciates it. This week saw one such example, and the ensuing rise of Chamberlain to the #2 spot in the Hot Tracks with his soothing and classical rhythm piece T-ISA. Our resident roller coaster rider and occasional programmer Adrien described it the best: “Coming from out of the blue, Chamberlain has bested Woodkid, Alt-J, and maybe James Blake in the general rankings for Hot Tracks on Whyd. To finish the week with the utmost touch of beauty, let yourselves be enwrapped by his playlist of compositions, plus this track is just perfect to play while at work.” That’s why it’s the Track of the Weekend! Subscribe to Chamberlain on Whyd, and like his Facebook page too! "

" It’s that time of year again, when people frantically try to sum up the events, changes, and developments of entire year in blog posts, articles, and podcasts, and look forward to the year to come. There is no doubt that 2014 is going to be a monumental year for Whyd, and also for streaming music services in general. But now it’s time for one of our favorite things to do as music lovers, present the playlist of the year, featuring Whyd’s Tracks of the Weekend.2013 was a good year for Woodkid, Flume, and Ryan Hemsworth, relatively new artists that have taken the world by storm with all three netting two Whyd Tracks of the Weekend each. It was also a year of bands returning to the scene, like the obvious Daft Punk but also Whyd favorites Metronomy, Arcade Fire, Arctic Monkeys, Phoenix, and Vampire Weekend. New faces that are still nascent like Man Is Not A Bird, In The Valley Below, and Chamberlain also earned their spots on this playlist, and we look forward to great things to come from all of them. 

WHYD, SAN FRANCISCO - PARIS 

Interview with Chamberlain :

Modern Day Composer

 

1. Hey Chamberlain! Can you tell us a little bit about you? What are the different sides of your personality and how do they show up in your projects?

I am originally a pianist who started with classical music, and I turned towards rock and pop groups. Then I learned jazz, and worked a lot with harmony, composing and touring around Europe with my group. I am an arranger and accompanist, I produce and manage the artistic direction of singers and rappers. I’ve been composing music since the age of 10, with the idea of building, like what the director Gondry does. I’ve also acted in the theater, composed music for the stage, and for advertisements. What I am really interested in is humanity and its ability to produce emotion, and in the same breath not to characterize those emotions. I try to reconstruct their complexities. I think that my compositions are at the same time sad, happy, sweet, salty, modern, nostalgic, but I try to present them as wrapped in silk. 

I work a lot with different cultures, to blur the borders between crude styles and feelings. I try to make the music coincide between wise, composed, and pop. 

2. What was your first contact with music? How did you come to start making music?

My first contact with music was from movies, reggae, and the African-American music that my father listened to at home singing the melodies. Then I met my first teacher, an old lady from the countryside. She was a very educated woman, married to a farmer, who killed time on her piano in her cozy living room. She made me give my first concert at 8 years old, we shared the stage with friends who brough their old monophonic synths, and we shared the music and instruments. At the same time, I made music in my room with the old technique of “ping-pong” (recording onto a Grundig tape recorder, with a low-cost synth, folk guitar, and the upright piano).  

That might also be Chamberlain, the search of my original childhood processes (and I really love the idea of chamber music).

 3. “Step over the Steppe” seems to be your leitmotif: Is there a link between the semi-arid Russian plateaus and where the inspiration for your melodious products that takes us somewhere between joy and melancholy are born?

From the beginning it was an idea of a vast region, Eurasia, at the intersection of different cultures, a natural place, but lived by a great human history. But thinking about it now, there is an idea of the solitude in the face of the immensity of the world. The echo can find its proper silence, and the idea to “step” over the steppe in one motion, or to jump on a horse and go across it galloping, with the combative spirit necessary to reach the absolute and inner peace. 

During the crossing, there is that multitude of feelings that we feel, the colors placed end to end that create a dramatic meaning, life in all its detours. (“We know only too well, the echo of our own silence”).

4. Your track T-ISA was praised by the Why’d community, and was finally selected Track of the Weekend. Tell us what you felt!

Full of pride! That gives me wings, and more confidence in myself to advance, and produce even more must, and the confirmation of a constant today accepted by everyone: the web can mix big fish and the smaller ones. This promotes creation! (which expands the size of the forest too, so you can lose, but sometimes it’s exciting to lose!) 

5. From the point of view of an artist, how do you use Whyd today and how would you like to see the service evolve? 

Whyd lets one get lost in the forest of musical creations, but with a map! It’s exciting to lose yourself, but to always know where you are!

The idea to create a synthesis of all the other streaming media in one place is excellent. Plus when we find a playlist from someone else, we discover new connections with even more music, we listen to more types of music, but with intelligence, we enlarge our capacity to feel new music! I appreciate the simplicity of use, I am not a specialist in web development, maybe with deeper integration to other social media, Whyd could surpass Deezer or Spotify.

Everyone must know Whyd. Whyd proposes an more ever-expanding offering — in the end infinite — than the other platforms that are market only. That’s the creative spirit! 

 

Whyd  Official Blog / 2013

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